Reflex PENTAX

 reflex Pentax K10D

Reflex à petit prix aux fonctionnalités prometteuses

Dernier grand nom de la photo à présenter son reflex à 10 millions de pixels, Pentax propose pour la première fois un boîtier numérique pour semi-professionnel. Jusqu'alors, la marque s'était contentée de fabriquer des reflex numériques pour photographes amateurs avec notamment le très séduisant *ist D sorti en 2003. Malgré la qualité des produits, les appareils Pentax sont toujours restés relativement confidentiels. La marque japonaise mise donc beaucoup sur la nouvelle génération de boîtiers pour s'imposer en véritable alternative aux ténors actuels que sont Canon et Nikon sur le segment des photographes experts. Preuve de cette nouvelle offensive, le lancement du K10D est accompagné (et c'est une première pour un reflex numérique Pentax) d'une campagne publicitaire télévisuelle, 3 petits spots qui mettent le K10D dans des situations des plus cocasses.

Alors ce nouveau reflex est-il à la hauteur des ambitions de Pentax ? À la lecture de la fiche technique, on ne peut être qu'impressionné. Pour environ 1000 euros, Pentax propose un appareil techniquement très proche d'un Nikon D200 pour environ 700 euros de moins : boîtier antiruissellement, capteur à 10 millions de pixels, stabilisation mécanique, système antipoussière intégré, autofocus sur 11 points, viseur large, nouveau convertisseur analogique numérique…Les atouts ne manquent pas. Une fiche technique ne restant qu'une fiche technique, découvrons ensemble ce que vaut réellement le K10D sur le terrain.

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  • Capteur CCD :

    10,2 mégapixels

     

  • Stabilisation :

    Oui, mécanique par déplacement du capteur

     

  • Mémoire interne/externe :

    Non - SD

     

  • Sensibilité :

    100 - 1600 ISO en mode Sv : 100, 200, 400, 800, 1600 ISO dans les autres modes

     

  • Mode vidéo :

    Non

     

  • Alimentation :

    Batterie Pentax D-LI50

     

  • Dimensions, Poids :

    14,1 x 10,1 x 14 cm (avec carte et
    batterie et 18-55mm) : 1050 g



    Pentax K20D :

Une lourde charge pèse sur les épaules du Pentax K20D : succéder à l'actuel fer de lance de la marque, véritable succès commercial, le K10D.

Le nouveau venu possède pourtant un argument de poids : un capteur survitaminé à 14,5 millions de pixels (co-développé par Pentax et Samsung) qui place directement le boîtier dans les sphères de la haute définition. À côté, quelques innovations sont également apparues : visée directe sur écran LCD, système d'élargissement de la dynamique, détection automatique des poussières, prise synchro flash... Rien de réellement essentiel, mais des petits plus qui facilitent bien la vie du photographe, ce qui au final est loin d'être négligeable.

En outre, le Pentax K20D conserve les atouts de son prédécesseur comme la construction antiruissellement du boîtier, la stabilisation interne, le large viseur optique, les modes à priorité sensibilité, et l'ergonomie presque sans faille...

Avec un prix largement revu à la hausse par rapport à l'ancien modèle (plus de 300 euros par rapport au prix de lancement du K10D, et pratiquement le double du au prix actuel), le capteur à 14,6 Mpix sera-t-il suffisant pour imposer le K20D sur un marché encore apre ? Réponse dans notre test complet du Pentax K20D.

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  • Capteur :

    CMOS 14,6 mégapixels effectifs (sur 15,07 totaux) (23,4 x 15,6 mm)

     

  • Monture :

    KAF2, compatible avec les objectifs à baïonnette KAF2 , KAF, KAF, compatibilité limitée avec les montures K et M42

     

  • zoom livré :

    kit avec SMC 18-55 mm f/3,5-5,6
    ou SMC 18-55 mm + SMC 50-200 mm,
    ou SMC 16-45 mm
    ou SMC 18-250 mm

     

  • Stabilisation :

    oui, par déplacement du capteur "shake Reduction"

     

  • Antipoussière :

    oui, double système anti-poussière avec revêtement antistatique Super Protect (SP) et mécanisme de décalage CCD (Dust Removal) + système de détection des poussières

     

  • Viseur :

    optique, pentaprisme, 95% de couverture de champ, grossissement 0,95x, verre de visée Natural Bright II

     

  • Visée écran LCD :

    oui, couverture 100%, écran quadrillé, grossissement x4 et x8, zone de mise au point visible. Durée : 60 s.

     

  • Écran :

    2,7 pouces (6,9 cm), 230 000 points

     

  • Mise au point :

    Autofocus SAFOX VIII à détection de phase, 11 points AF (9 en croix et 2 verticaux) sélectionnables individuellement, automatiquement ou collimateur central. Assistance du flash en basse lumière.

     

  • Modes autofocus :

    single, continu, manuel

     

  • Mesures d'exposition :

    16 segments: choix de mesures multi-zones, centrale pondérée ou spot : de 0 à 21 IL (à 100 ISO avec un obj. 50mm f/1,4)

     

  • Modes d'exposition :

    Vert, Programme (Hyper-Programme), Priorité Sensibilité (Sv), Priorité Vitesse (Tv), Priorité Ouverture (Av), Priorité couple Vitesse/ Ouverture (TAv), Manuel, Vitesse synchro flash, Pose B, USER

     

  • Vitesse d'obturation :

    30 - 1/4000 s, pose B, synchro flash 1/180 s

     

  • Motorisation :

    3 i/s sur 38 JPeg, 16 vues en Raw DNG et 14 en Raw PEF. Mode rafale ultra rapide 21 i/s en définition 1536 x 1024 pixels

     

  • Sensibilité ISO :

    AUTO, 100-6400 ISO par incrément de 1/3 IL

     

  • Mémoire :

    1 emplacement pour SD/SDHC

     

  • Format image :

    Raw (PEF ou DNG) 12 bits, Raw + JPEG (DNG ou PEF), JPEG. Dimensions : 4672 x 3104 pixels

     

  • Alimentation :

    batterie Li-ion rechargeable DL-I50 (530 images données CIPA)

     

  • Connexion :

    USB 2 (propriétaire), télécommande et A/V

     

  • Dimensions :

    141,5 x 101 x 70 mm

     

  • Poids :

    828 g (sans objectif, avec batterie, carte, courroie) et 1048 g avec 18-55 mm

     

  • Logiciels :

    Pentax Photo Browser 3, Photo Laboratory 3 et Remote assistant 3

     

  • Dans la boîte :

    Câble A/V, câble USB, chargeur batterie + câble, batterie, bouchon boîtier, courroie, logiciels


    PENTAX K-7


    Pentax
    vient de présenter son nouveau reflex expert, le K-7. Celui-ci vient chapeauter la gamme, se situant par ses capacités un peu au-dessus du K20D, malgré son châssis plus compact.


    Après trois ans de bons et loyaux services, le châssis des K10D et K20D prend donc sa retraite. Le K-7 gagne un centimètre en largeur, cinq millimètres en hauteur et une cinquantaine de grammes ; il visera donc un volume plus proche d'un Olympus E-620...

    Nouveautés et évolutions

    Pourtant, pas question d'abandonner les préceptes chers à la marque. La tropicalisation est bien entendu toujours là, mais c'est le viseur qui attirera les regards : Pentax, dont le viseur longtemps référence a été rattrapé notamment par le D90, adopte un nouveau pentaprisme, d'une couverture de 100% du champ et d'un grossissement de 0,92x.

    Celui-ci devrait donc s'intercaler entre ceux de l'Olympus E-3 et du Nikon D300, seuls autres «experts» à moins de 1500 euros dotés d'un viseur 100%. Son grossissement est également légèrement inférieur à celui qui, apparu sur le *ist D, équipe encore le K20D, mais sa couverture supérieure devrait au final plus que compenser l'impression de confort. Un nouveau verre de visée est également annoncé, que l'on peut imaginer moins granuleux que les précédents.

    Légère mise à jour également du système autofocus : le Saphox VIII laisse la place à un Saphox VIII+. Pas de modification fondamentale : on reste sur un système à onze collimateurs dont neuf en croix ; nous espérerons donc que les retouches concernent par exemple la sensibilité en basse lumière -- le Saphox VIII est bien connu pour sa tendance à prendre quelques fractions de seconde pour peaufiner la mise au point en soirée.

    Grosse nouveauté en revanche pour le système de mesure, qui lui non plus n'avait pas connu de révolution depuis 2003. Il passe à 77 zones, certes loin de la mesure couleur 420 pixels du Nikon D90, mais dominant le E-3 (49 zones) et l'EOS 50D (35 zones). La correction d'exposition atteint pour sa part 5 IL de latitude, contre 3 IL maximum sur les modèles précédents.

    Le K-7 pourra recevoir une poignée de prise de vue verticale. Le flash est articulé en arrière du prisme, augmentant nettement le déport de la potence.


    L'obturateur, enfin, est renforcé pour monter à 1/8000 s, et la synchro flash atteint 1/250 s -- ceci dit, le flash intégré, dont la potence est articulée plus en arrière au profit du dégagement, dispose désormais de la synchronisation haute vitesse jusqu'alors réservée aux flashes externes.

    Le capteur, enfin, n'est pour sa part pas une nouveauté : il ressemble fortement à celui apparu avec le K20D. Il faut reconnaître que 14,6 mégapixels sont plus que suffisants pour la plupart des utilisations, permettant déjà de généreux recadrages même pour des impression 30x45 cm. La plage de sensibilités n'évolue pas non plus (100 à 6400 iso), et est toujours réglable par 1/3 IL (notamment en mode TAv, où ouverture et vitesse sont choisies par le photographe et où l'appareil ajuste l'exposition en jouant sur les iso).

    S'il y a modification, c'est donc sur le rythme de lecture. D'une part, la rafale, faiblesse du K20D, est revue à la hausse : avec 5 images par seconde, le K-7 reprend la main sur le D90 et rejoint l'Alpha 700 et les experts d'Olympus. La différence avec les D300 et EOS 50D (6 images par seconde) sera peu sensible, tous ces appareils se tenant en pratique dans un mouchoir. Mieux, le tampon est largement dimensionné : il accepte 17 images en Raw (DNG ou PEF), et 40 vues Jpg (en pratique, cela devrait être un minimum en particulier avec des cartes SDHC rapides).

    De profil, on note le raccourcissement du prisme, désormais aligné sur la poignée, et le changement de côté de la prise de télécommande. La molette est désormais inclinée vers le haut. Sur le flanc gauche, outre les connexions habituelles (dont la synchro flash), on note les prises vidéo : HDMI pour la lecture, micro pour l'enregistrement.

    D'autre part, comme le veut la règle du moment, le K-7 adopte la vidéo. Point de Full HD cependant : le mode standard sera en 720p, et un très original mode 1536x1024 pixels, reprenant donc le format 3:2 habituel en photographie, sera également proposé. Une sortie HDMI est prévue. Un bémol, mais de taille : le K-7 enregistrera ses vidéos en Mjpeg, solution facile à monter mais beaucoup plus lourde (ou beaucoup moins qualitative, selon la compression choisie) que le H.264 par exemple.

    On notera en revanche que la stabilisation, dont sont équipés tous les reflex de la marque depuis le K100D, fonctionne en continu pendant la vidéo. Et, surtout, le K-7 propose au-dessus de la prise HDMI une entrée micro, permettant ainsi d'utiliser un appareil de prise de son externe. Les esprits chagrins regretteront l'absence de prise casque pour vérifier la qualité sonore obtenue, comme il en existe sur l'EOS 5D Mk II, mais le tarif de l'appareil n'est pas le même.

    Cosmétique

    Étonnamment compact pour un appareil de cette gamme, le K-7 franchit un pas par rapport aux KxxD. Son allure carrée et taillée à la serpe lui permet de proposer un écran 3 pouces, mais les commandes ont été largement redistribuées : outre la molette avant plus inclinée, dont le bien-fondé sera à vérifier lorsque nous aurons l'appareil en mains, on note :

    • la couronne de sélection du mode autofocus passe autour du bouton AF -- elle perturbera sans doute moins les Canonistes empruntant ponctuellement un Pentax ;
    • la touche Fn disparaît, remplacée par un accès direct à ses fonctions par le trèfle, de même que celle de bracketing et le commutateur de stabilisation (sans doute relégués dans les menus) ;
    • une touche directe d'accès au Live View apparaît ;
    • le bouton vert passe sous le pouce ; la correction d'exposition grimpe derrière le déclencheur, où apparaît une touche dédiée à la sensibilité ;
    • la touche AE-L est recentrée, enfin dans le prolongement du pouce et non plus isolée par-dessus la cale arrière ;
    • le levier d'ouverture de la trappe de carte disparaît, remplacé par un plus classique clapet coulissant.

    Face supérieure : on note l'arrivée d'un mode vidéo sur la molette de gauche, et de la correction d'exposition et du réglage de sensibilité derrière le déclencheur.

    La logique évolue donc peu, mais l'ergonomie devrait y gagner légèrement ; en outre, Pentax indique que la touche Raw pourra être reprogrammée.

    Reste à voir si la compacité de l'appareil ne nuira pas à sa prise en mains ; mais Pentax a, avec le K200D aux dimensions comparables, déjà montré un certain savoir-faire dans ce domaine.

    Nouvel objectif

    Le K-7 inaugure également un nouvel objectif de kit. Les spécifications de celui-ci sont peu originales : il s'agit d'un 18-55 mm, ouvrant à f/3,5 en grand angle et f/5,6 en téléobjectif, et les visuels présentés rappellent très fortement le DA 18-55 mm AL livré avec les précédents appareils.

    Cependant, le liseré vert (pas des plus discrets) et la mention WR ajoutés signent la grosse évolution de celui-ci : il est désormais protégé contre les intempéries, le kit K-7 + 18-55 mm WR étant ainsi entièrement tropicalisé. Le surcoût demeure raisonnable : cent euros (le surcoût du 18-55 mm classique livré avec le K20D est d'une cinquantaine d'euros).

    Au final, le K-7, disponible mi-juin 2009, devrait être lancé à 1199 euros nu et 1299 euros avec le 18-55 mm WR.

    Les informations diffusées par Pentax France étant assez parcellaires, nous vous livrons une fiche technique provisoire et certaines données techniques peuvent changer au dernier moment. Les indications en italiques ne sont pas validées par Pentax France.
    Ainsi, certaines spécifications annoncées comme la correction automatique des aberrations chromatiques et de la distorsion de certains objectifs ne sont pas reprises dans la documentation Pentax France. Il faudra donc attendre que Pentax France daigne bien répondre à nos nombreuses questions...

    Cela est d'autant plus énervant, qu'il semble que certaines entités Pentax aient été plus généreuses en informations comme en attestent certaines images sur Internet.

    Pentax K-7 prise en main

    Pentax K-7 : fiche technique synthétique 
    Capteur : Nouveau capteur CMOS 14,6 Mpix Samsung. Taille : APS-C 23,4 x 15,6mm (rapport 3:2). 4 canaux de lecture.
    Nouveau système antipoussière Dust Removal II avec vibrations ultrasoniques.
    Stabilisation par déplacement du capteur.
    Sensibilité : 100-3200 ISO, extensible jusqu'à 6400 ISO
    Processeur : Nouvelle puce PRIME II (Pentax Real IMage Engine), gestion de la vidéo HD
    Visée : Nouveau pentaprisme couverture 100% et grossissement de x0,92
    Nouveau verre de visée Natural Bright Matte III
    Visée directe sur écran : 100%
    Mise au point : Nouveau module SAFOX VIII+ : 11 collimateurs, 9 en croix. Nouveaux algorithmes de traitement. AF single, continu ou manuel.
    Visée sur écran : autofocus par détection de contraste avec reconnaissance des visages.
    Écran LCD : 3 pouces, 920 000 points, affichage VGA (640x480 pixels)
    Mesure exposition : Nouveau module TTL sur 77 segments.Multizones, centrale pondérée et spot
    Obturateur : Nouvel obturateur : 30 à 1/8000 s. B, synchro flash 1/250 s.
    Mode rafale rapide à 5,2 i/s sur 40 vues JPeg et 14 vues en RAW (DNG) / 15 vues en PEF.
    Mode rafale lente : 3,3 i/s jusqu'à remplissage de la carte en JPeg et 17 vues en Raw.
    Mode rafale très rapide : 21 i/s sur 115 vues JPeg à 1,6 Mpix.
    Modes exposition : Vert, Programme (Hyper Programme), Priorité Sensibilité (Sv), Priorité Vitesse (Tv), Priorité Ouverture (Av), Priorité couple Vitesse/Ouverture (TAv), Manuel.
    Correction d'exposition sur +/- 5 IL
    Bracketing sur 3 ou 5 images
    Dimensions / poids : 130 ,5 x 96,5 x 72,5 mm / 750 g chargé
    Boîtier : Châssis en aluminium et boîtier en alliage de magnésium
    Protection :   77 joints de protection, résistant au froid jusqu'à -10°C
    Fichiers : Raw : PEF, DNG sur 12 bits, 4688x3120
    JPeg, Raw + JPeg
    Vidéo : AVI (compression Motion JPeg) 1280x720 pixels, 30 i/s
    Monture :   Baïonnette KAF2 compatible avce les objectifs KAF3, KAF2, KAF
    Support mémoire, connexions : SD/SDHC /  USB2, sprtie AV et HDMI, prise pour micro stéréo externe, alimentation, synchro flash, télécommande infrarouge (option)
    Alimentation : Nouvelle batterie Li-ion DL-I90 (740 vues avec 50% au flash)


PENTAX K-M

 Pentax
annonce un nouveau reflex d'entrée de gamme, le K-m (499 euros avec 18-55 mm). Une sorte de K200D édulcoré (il n'est plus tropicalisé). Alléchant


Toujours pas de visée directe sur écran LCD sur le Pentax K-m. Capteur CCD oblige.

Pentax lance le premier reflex équipé (entendre avec un zoom 18-55 mm) à moins de 500 euros. Un prix plancher pour un appareil au final très séduisant. La fiche technique est relativement classique : capteur CCD 10 Mpix, autofocus SAFOX 5 points (contre 11 sur les précédents modèles), rafale intéressante à 3,5 i/s, stabilisation optique par déplacement du capteur (avec système de nettoyage), écran LCD 2,7 pouces 230 000 points.
Pas mal. Mais le K-m propose en plus les technologies présentes sur les autres boîtiers comme le pilotage des flashes distants ou la "pseudo" extension de la dynamique (DRE). Au passage, on notera la disparition de certaines commandes (comme l'activation de la stabilisation ou l'écran LCD sur le dessus de l'appareil). La molette de sélection des modes d'exposition en profite pour migrer sur l'épaule droite de l'appareil. Une première chez Pentax. Le K-m est naturellement compatible avec les nouvelles optiques à motorisation interne SDM.

Le Pentax K-m sera également disponible en double-kit au prix très séduisant de 599 euros avec un 50-200 mm supplémentaire.

Pentax K-m dos



 Pentax K200D :





Si le Pentax K200D succède au K100D Super, ce nouveau reflex d'entrée de gamme est également un peu le "fils spirituel" de l'excellent K10D.

En effet, le nouveau boîtier hérite de nombreux avantages du reflex expert de la marque comme la superbe fabrication tropicalisée du boîtier, la touche Raw sur le côté ou encore le mode d'exposition Sv (priorité sensibilité). Il partage également avec son grand frère, un capteur à 10 millions de pixels, désormais classique sur ce segment de marché.

Pentax annonce également quelques améliorations comme un mode spécifique pour l'amélioration de la dynamique, un écran LCD plus grand (2,7 pouces), mais n'a pas succombé à la technologie à la mode : la visée sur écran LCD. En effet, le K200D est équipé d'un capteur CCD qui supporte bien mal l'exposition prolongée et le constructeur a refusé d'intégrer un système similaire à celui du Sony Alpha 350.

Alors, ce reflex est-il réellement le nouveau champion (comme l'annonce Pentax) capable de mettre K.O. ses concurrents ? Réponse dans notre test du Pentax K200D.
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  • Capteur :

    CCD 10,2 mégapixels effectifs (sur 10,75 totaux) (23,5 x 15,7 mm)

     

  • Monture :

    baïonnette KAF2 compatible avec les objectifs KAF2, KAF et compatible avec les objectifs à motorisation interne SDM (Super Direct drive Motor)

     

  • zoom livré :

    kit avec 18-55 mm f/3,5-5,6

     

  • Stabilisation :

    oui, par déplacement du capteur

     

  • Antipoussière :

    oui, par déplacement du capteur

     

  • Viseur :

    optique, pentamiroir. Grandissement 0,85x, couverture : 96%, verre de visée Natural Bright II non interchangeable

     

  • Visée écran LCD :

    non

     

  • Écran :

    2,7 pouces (6,9 cm), 230 000 points

     

  • Mise au point :

    Système autofocus SAFOX VIII à détection de phase, 11 points AF (9 en croix et 2 verticaux) selectionnables individuellement, automatiquement ou collimateur central

     

  • Modes autofocus :

    AF single, continu, manuel

     

  • Mesures d'exposition :

    TTL sur 16 segments. Choix de la mesure multizones, centrale pondérée ou spot

     

  • Modes d'exposition :

    Autopicture, programme (Hyper programme), priorité sensibilité (Sv), priorité vitesse (Tv), priorité ouverture (Av), manuel, vitesse synchro flash, B et modes scènes : portrait, paysage, macro, sport, portrait nocturne, nocturne, flash off, mer & neige, gastronomie...

     

  • Vitesse d'obturation :

    30 - 1/4000 s, pose B, synchro flash 1/180 s

     

  • Motorisation :

    3 i/s sur 4 JPeg, 4 vues en Raw (DNG)

     

  • Sensibilité ISO :

    AUTO, 100 - 1600 ISO par incrément de 1 IL

     

  • Mémoire :

    1 emplacement pour SD/SDHC

     

  • Format image :

    Raw propriétaire (PEF) ou DNG, Raw + JPeg large, Jpeg : 3872 x 2592 pixels

     

  • Alimentation :

    4 batteries AA (lithium, alcaline, NI-MH). 1100 images avec lithium et 550 avec 50% flash/ Poignée d'alimentation D-BG3 disponible

     

  • Connexion :

    USB 2, sortie vidéo

     

  • Dimensions :

    133,5 x 95 x 74 mm

     

  • Poids :

    724 g (sans objectif, avec piles lithium, carte, courroie) et 960 g avec 18-55 mm. 781 g (sans objectif, avec batterie NI-MH, carte, courroie) et 1025 g avec 18-55 mm

     

  • Logiciels :

    Pentax Photo Browser 3 / Pentax Photo Laboratory 3

     

  • Dans la boîte :

    Câble A/V, câble USB, 4 piles lithium, bouchon boîtier, courroie, logiciels
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